Le 34 e Congrès de l'Uniopss, qui a rassemblé à Rennes plus de 1 000 participants, a été pour les acteurs associatifs de santé et de solidarité, un temps fort de mobilisation et d'interpellation des pouvoirs publics sur les réformes à conduire, avec comme boussole, un projet solidaire renouvelé.
« Aujourd'hui, les associations construisent demain… Parlons-en ! » Tel était le thème du 34 e Congrès de l'Uniopss qui s'est déroulé les 13 et 14 mai 2022 au Couvent des Jacobins de Rennes.
Cet événement fut l'occasion de réaffirmer le pouvoir d'agir et d'innover des associations, de débattre des défis du nouveau quinquennat, avec la volonté de peser sur les réformes à venir.
Construit avec le réseau des Uriopss, des adhérents nationaux et le concours spécifique de l'Uriopss Bretagne, ce 34 e Congrès s'est attaché à mettre en lumière les initiatives associatives à l'œuvre sur les territoires, pour renouveler le débat public, contribuer à une alternative pour les politiques publiques, ajuster en continu les pratiques et améliorer en profondeur la qualité de vie pour et avec les personnes concernées.
Dans un contexte de tension et de marchandisation constante, y compris de l'action sociale, l'Uniopss a également mis en avant un projet solidaire renouvelé, guidé par le vivre ensemble, l'attention aux plus précaires, en favorisant les conditions d' un juste équilibre entre l'économie, l'écologie et le social.
Tables rondes, conférences-débat grand public, ateliers et forums ont ponctué ces deux jours de questionnement, de débats, d'interpellation et de construction collective, pour une véritable transformation sociale.
> Les courants dominants tendent à valoriser aujourd’hui surtout le registre organisationnel de l’innovation, qui concerne les outils et méthodes de gestion des activités. Pourtant l’innovation peut aussi être appréhendée par le registre institutionnel, c’est-à-dire ce qui est « institué » par des normes, des valeurs, un projet collectif. L’étude de l’innovation est ancienne : les processus d’innovation ont été étudiés par Schumpeter dès les années 30, avec en arrière-plan les travaux de Durkheim et Weber sur le changement et la régulation dans le contexte de la société industrielle qui était la leur. Sans oublier la marque de conceptions issues de configurations sociales, économiques et politiques antérieures, il s’agit d’appréhender les enjeux de l’innovation dans l’époque présente. Après les expériences de la crise sanitaire, mais aussi de manière plus structurelle, comment les associations peuvent-elles mobiliser et valoriser leurs potentiels de contribution à de meilleures réponses, au plus près du terrain et même à bas bruit ? Comment peuvent-elles faire reconnaître ce qu’elles apportent avec leurs capacités à renouveler les rapports sociaux, faire évoluer les références collectives, contribuer à l’engagement pour une société plus inclusive et durable ?
Débat sur l’innovation associative et partage d’expériences innovantes repérées au sein du réseau Uniopss-Uriopss.
Animation : Catherine Humbert, directrice de l’Uriopss Grand-Est
> Les innovations technologiques pour l’accompagnement, le soin, le maintien de l’autonomie des personnes âgées et des personnes en situation de handicap ne sont pas sans soulever de nombreuses questions, à la fois éthiques, économiques et sociales. Contribuent-elles à favoriser un espace de vie et un environnement accueillant et bénéfique au service du maintien de l’autonomie ? Permettent-elles une réelle amélioration des capacités des personnes ? Tendent-elles, à l’inverse, à déshumaniser l’accompagnement, à faire disparaître tout contact humain ? Autant de questions qui se posent et qui confrontent des enjeux parfois contradictoires mais souvent légitimes. Il s’agira ainsi d’apporter des éléments de réponse autour du développement inévitable de ces technologies dans une perspective de complémentarité et non de substitution au lien social.
Animation : Chloé Blossier, conseillère technique Autonomie, Uniopss
> L’exigence des logiques de parcours conduit les associations à transformer leur rapport à l’environnement et, par ricochet, leur fonctionnement interne. L’évolution propre à chaque association ne prend réellement sens que dans le rapport à des dynamiques collectives, où s’éprouvent non seulement la capacité à proposer une organisation plus rationnelle, mais aussi la possibilité d’instituer un projet commun, sur un territoire. Autrement dit, la force de l’intelligence collective réside non seulement dans la mise en commun de capacités (expertise, organisation plus opérante des réponses, …), mais aussi dans la possibilité d’explorer ensemble de nouveaux champs, d’éprouver ce qui fait sens, à savoir un agir en commun et des valeurs partagées.
Débat autour des expériences capitalisées par l’Espace Recherche Prospective en lien avec les Uriopss PACA-Corse et Auvergne-Rhône-Alpes.
Animation : Yves Darnaud, délégué général de l’Espace de Recherche et de Prospective
> Dans un contexte de crise sanitaire qui a considérablement augmenté l’usage et le développement d’outils numériques, comment ces derniers transforment-ils le système de santé et avec quels impacts pour les usagers ?
Comment peuvent-ils améliorer l’accès à la santé ? Quels apports et quelles limites pour les publics vulnérables et éloignés du système de santé ? À l’appui d’illustrations, notamment sur la téléconsultation en psychiatrie, il s’agira d’échanger sur les enjeux d’accès à la santé et de fractures numériques posés par le virage numérique de notre système de santé. Ce, dans un début d’année 2022, marquée par l’ouverture de l’Espace Numérique de Santé baptisé « Mon Espace Santé » pour chaque usager…
Animation : Karine Pouchain-Grépinet, Conseillère nationale Santé, APF France handicap
> La transition énergétique s’impose de plus en plus dans le débat politique et se traduit, dans le domaine de l’habitat, par la question de la précarité énergétique pour les personnes.
L’Uniopss propose donc un atelier permettant de découvrir les SLIME, Services Locaux d’Intervention pour la Maîtrise de l’Énergie, pratiqués en Bretagne, identifiés par la Fondation Abbé Pierre, à l’initiative de certaines collectivités territoriales, et qui gagneraient à être essaimés ailleurs. Il s’agit d’une pratique d’aller-vers d’un chargé de visite, travailleur social ou intervenant énergie, se rendant au domicile du ménage en précarité énergétique pour diagnostiquer les problèmes d’habitat, d’énergie, sociaux et aiguiller celui-ci vers différents accompagnements (écogestes, maîtrise du budget, accès aux droits, travaux, relogement). Cet atelier sera également l’occasion de découvrir une bonne pratique déployée nationalement, « Mon logement et moi », innovation d’accompagnement collectif des personnes, y compris âgées, en précarité énergétique, imaginée par SOLIHA, à travers un jeu permettant de visualiser un meilleur usage énergétique du logement à partir d’une maquette en 3D.
Animation : Jeanne Dietrich, conseillère technique Hébergement-Logement, Uniopss
> Réponse à un besoin et à une demande, la dynamique participative est un enjeu majeur d’évolution, d’attractivité et de pérennité pour les associations. Les modalités d’un élargissement de la démarche participative sont diverses et permettent de (re)donner du sens à l’action et la place de chacun dans les organisations et à inscrire les projets dans une démarche de qualité ; elles favorisent un engagement actif de toutes les parties prenantes de l’association (administrateurs, adhérents, salariés, personnes accompagnées, accueillies, aidants, partenaires). Ainsi, un certain nombre d’associations se lancent dans l’aventure, en mettant en place de la démocratie participative interrogeant la capacité des associations à réfléchir la place de chacun.
Une telle démarche nécessite finalement de s’intéresser à la juste partition des rôles, la reconnaissance et la responsabilité accordées à chacun. Dans cette perspective, questionner la gouvernance associative permet d’améliorer la mobilisation et la participation des acteurs, tout en engageant une nouvelle dynamique. Cet atelier sera l’occasion de présenter plusieurs projets et démarches de participation qui font évoluer les gouvernances et les pratiques d’associations et contribuent au développement et à la pérennisation de celles-ci.
Une professionnelle et deux personnes accompagnées de l’association Kan Ar Mor :
Animation : Isabelle Léomant, conseillère technique Accompagnements, Acteurs et Parcours, Uniopss
> Alors que les jeunes ont fait partie des principales victimes de la crise sanitaire qui a traversé notre pays, et que les associations de lutte contre la précarité n’ont eu de cesse de demander la mise en place d’un revenu pour les jeunes dès 18 ans sous conditions de ressources, le gouvernement a déployé en leur direction un programme d’aide à l’emploi assorti d’un revenu. Toutefois, malgré des dispositions intéressantes pour l’insertion et le soutien des jeunes précaires, ce dispositif, bien inférieur à l’ambition annoncée par le président de la République en juillet dernier, sous forme de « contrat donnant-donnant » amène à s’interroger sur le modèle de protection sociale en direction des jeunes défendu. Cette aide représente-t-elle vraiment une évolution dans l’aide apportée aux jeunes ? Comment innover et développer une réelle politique de soutien et de protection sociale des jeunes précaires
Animation : Manon Jullien, conseillère technique Lutte contre l’exclusion, Uniopss
> Depuis plusieurs années, l’Union européenne, beaucoup plus que la France, met en place des dispositifs de consultation citoyenne et de concertation avec la société organisée. Grâce à ces consultations publiques, tout citoyen et toute organisation européenne peut donner son avis sur les politiques mises en œuvre et les législations de l’Union. Mais de quelle façon la Commission européenne tient-elle compte (ou non) des apports de la société civile dans l’élaboration des décisions en matière sociale ? Quelles barrières sont identifiées par le secteur associatif et comment les faire tomber ? Quel traitement des réponses de la société civile aux consultations de la Commission ? Et quel retour aux citoyens de ce qui a été fait à partir de leurs apports ? Enfin, comment faire en sorte que les associations soient mieux écoutées alors qu’elles ont des moyens plus limités que d’autres acteurs, notamment les entreprises lucratives ? Éléments de réponse dans cet atelier.
Animation : Jérôme Voiturier, directeur général de l’Uniopss
> Entre centralisation et partage des informations en interne, ciblage affiné, communication automatisée et personnalisée, digitalisation des échanges, entre autres, le CRM regorge de fonctionnalités plus efficientes les unes que les autres.
À travers cet atelier, découvrez comment un outil digital innovant permet à votre organisation de changer son approche relationnelle avec ses publics, qu’ils soient adhérents, bénévoles, ou donateurs, et ce, afin de toujours mieux les servir et d’augmenter leur engagement. Cet atelier sera illustré par des exemples concrets, enrichi du témoignage du réseau Uniopss-Uriopss et complété des meilleures pratiques de mise en place.
> La construction d’une société inclusive doit permettre à l’ensemble des personnes en situation de handicap et des personnes âgées, l’accessibilité universelle à l’éducation, à l’emploi, à un logement, à la culture... Elle comprend, en outre, le droit à une vie affective, relationnelle, intime, amoureuse et sexuelle au même titre que l’ensemble des citoyens français et des citoyennes françaises. Ce déterminant de santé ne doit pas être négligé et constitue une condition pour assurer le bien-être physique, émotionnel, mental des personnes concernées.
Si la circulaire du 5 juillet 2021 rappelle le droit à la vie affective, intime et sexuelle des personnes en situation de handicap accompagnées par des ESSMS, rien n’existe pour les personnes âgées.
Comment dépasser le tabou et faire avancer les pratiques professionnelles ? Comment réfléchir dans les établissements sur ce sujet ? Quelle autodétermination pour les personnes ? Le projet de vie personnalisé peut-il être un outil ?
Animation : Mathilde Le Bihan, Responsable du service vie associative et formation des acteurs, Uriopss Hauts-de-France
> Derrière cette évolution du lexique, on assiste à un processus de transformation des politiques et des pratiques. Quelle place accorder à la parole des personnes accompagnées ? Leurs représentants ? Quelle(s) coopération(s) ? Comment décloisonner les secteurs sanitaires, médico-sociaux et sociaux ? Le modèle « Patient - Usager - Partenaire » est-il un levier de développement des associations ? Qu’en est-il vraiment de la mise en œuvre de la participation effective des usagers, patients, personnes accompagnées et leurs représentants au sein des associations ? Cet atelier, porté par l’Uriopss Bretagne et ses adhérents, sera l’occasion de partager des expériences développées sur le territoire breton et plus généralement de débattre des freins et leviers dans la construction d’une société inclusive.
Animation : Roland Ollivier, président de la Fondation Bon Sauveur, administrateur de l’Uriopss Bretagne et Nathalie Perret-Launay, directrice de l’Uriopss Bretagne
> Le développement durable, au sens des 17 objectifs inscrits en septembre 2015 par l’ONU sur un agenda commun et dans une perspective universelle, constitue en principe un point d’ancrage naturel pour les projets des associations de solidarité. En effet ces objectifs de développement durable (ODD) sont une feuille de route pour éradiquer la pauvreté, assurer un travail décent à tous, garantir l’accès aux services fondamentaux (alimentation, santé, éducation), traiter les problématiques environnementales, lutter contre les inégalités. Ils traduisent ainsi un engagement des Nations à agir pour un développement durable, qui concerne bien plus que l’écologie et englobe aussi la vie des communautés humaines. Avec cet arrière-plan, la RSO peut être vue comme une modalité concrète pour s’engager dans les ODD, traduisant le choix d’une politique, qui sera déclinée dans la stratégie et dans la gestion. Finalement peut-elle, au-delà de l’application d’une norme opérationnalisable (la norme ISO 26000), à la fois traduire un engagement vis à vis de la société et constituer une réelle opportunité pour remobiliser toutes les composantes d’une organisation et permettre ainsi à un collectif de travail de trouver ou retrouver du sens à ses actions
Animation : Natalia Breysse, directrice de l’Uriopss Auvergne-Rhône-Alpes
> L’avancée de l’entreprise sociale est un phénomène complexe et ambivalent : certes, de nombreuses opportunités sont associées à la mise en avant d’une forme d’entrepreneuriat prenant en compte les questions sociales, se démarquant ainsi de l’entrepreneuriat tourné d’abord vers le profit. Mais dans le même temps, certaines conceptions de l’entrepreneuriat social occultent toute dimension socio-politique aux porteurs d’une activité économique. Ces recompositions de l’entrepreneuriat sont à situer dans le contexte de phénomènes plus généraux, comme l’implantation du nouveau management public au sein de l’État ou l’extension des référentiels marchands à des composantes de plus en plus larges de la société.
> La question de l’analyse de l’utilité sociale n’est pas nouvelle : elle s’est invitée de longue date au débat de l’évaluation des politiques publiques ou du rôle des entreprises.
À chaque époque correspondent des modes et des mots-clés - évaluation d’utilité sociale, mesure d’impact social,… - traduisant des enjeux qui se recomposent en fonction des contextes dans lesquels ils s’inscrivent. Actuellement, l’une des questions critiques est celle d’une capacité à appréhender les problématiques sociales pour elles-mêmes et non comme subsidiaires aux problématiques économiques. Malgré la diffusion extensive des référentiels managériaux et marchands, dans les entreprises comme dans les politiques publiques, il est possible de développer des approches alternatives permettant de valoriser des démarches collectives, des effets agrégés, des processus longs, des dynamiques territoriales… Des expériences intéressantes sont menées à ce sujet dans les associations, notamment à l’occasion des démarches qu’elles initient sur la question de leur utilité sociale. Regards croisés à partir des expériences menées par les Uriopss Hauts-de-France et Pays-de-la Loire.
> Aujourd’hui, la majorité des enfants en situation de handicap de moins de trois ans sont gardés exclusivement par leurs parents. Pourtant, l’accueil des enfants en situation de handicap au sein de crèches, auprès d’assistants maternels ou garde à domicile présente de nombreux avantages pour les enfants et leur famille. Favorisant la socialisation des enfants, il permet également de changer dès le plus jeune âge le regard porté sur le handicap. Le développement de l’accueil de jeunes enfants en situation de handicap est aussi un levier pour l’activité socio-professionnelle de leurs parents. Selon l’étude Geste, les professionnels de la petite enfance ont très peu de relations, voire une méconnaissance des acteurs du secteur du handicap. L’atelier proposé par l’Uniopss sera l’occasion d’étudier comment les acteurs du secteur du handicap et de la petite enfance peuvent travailler ensemble au niveau local pour développer l’accueil inclusif des enfants de moins de 3 ans. Il s’intéressera également aux freins que les parents, les professionnels et les acteurs institutionnels peuvent rencontrer pour cet accueil et fera état des bonnes pratiques menées sur certains territoires. L’objectif étant de dresser des recommandations sur les partenariats et initiatives innovantes à développer sur les territoires pour favoriser cet accueil.
Animation : Jérôme Voiturier, directeur général de l’Uniopss
> Comment penser l’autonomie, la pleine citoyenneté, la sécurisation des parcours, alors même que la question de l’universalisme n’est pas pensée dans la politique de protection de l’enfant ? Ceci est en contradiction avec l’objectif que ces enfants et jeunes deviennent tous autonomes à la sortie du dispositif (18-21ans) et que la sécurisation des parcours reste à être effective.
Animation : Sandrine Dautigny, Responsable du secteur Enfance Jeunesse Famille, Uriopss Hauts-de-France
> Les enjeux de la santé mentale et de la psychiatrie ont été exposés lors des Assises de la santé mentale et de la psychiatrie en septembre dernier. La crise Covid a accentué les besoins en santé mentale et démontré l’insuffisance des réponses. Quelles coopérations entre les acteurs du soin et de l’accompagnement social et médico-social pour répondre aux besoins des personnes ? Cet atelier propose un focus sur des réponses apportées sur les territoires à travers deux témoignages de pratiques et organisations orientées vers l’inclusion sociale et le rétablissement.
Intervenant.e.s :
Animation : Jean-Luc Brière, président du groupe de concertation santé mentale de l'Uniopss
> La feuille de route gouvernementale de 2019 « Virage numérique en santé » intègre la mise en œuvre d’outils et services numériques qui visent à faciliter et fluidifier le partage et l’échange de données de santé et de l’accompagnement social et médico-social pour une meilleure coordination des acteurs autour du parcours des personnes.
Intégré à la feuille de route, le Programme ESMS numérique accompagne financièrement les projets de déploiement ou de mise en conformité du Dossier Usager Informatisé (DUI) au sein des ESMS. Celui-ci a pris de l’ampleur dans le cadre du Ségur de la santé, avec une enveloppe dédiée aux ESSMS de 600 millions d’euros sur 5 ans.
En quoi le numérique et les systèmes d’information peuvent-ils améliorer le quotidien des professionnels et le parcours des usagers en ESMS ? A quoi sert un Dossier Usager Informatisé ? Comment se saisir de l’opportunité du Programme ESMS numérique ? Quels enseignements peut-on tirer des deux premières vagues d’appels à projet de 2021 et quels sont les pré-requis et points d’attention pour se lancer dans un projet de DUI ?
Ce forum découverte propose d’apporter des éléments de réponses, notamment à travers deux exemples d’accompagnement des acteurs en région.
> Après une présentation synthétique des enseignements issus du cluster QVT piloté par l’Uriopss Occitanie, mis en perspective avec les enjeux de la transformation et de l’attractivité des métiers, nous proposons aux personnes présentes de naviguer dans le mur numérique QVT. Vous serez ensuite invités à tester un de ces outils pédagogiques : le « pré diagnostic image ». Conçu pour libérer la parole des équipes autour de la QVT, il permet aux encadrants d’initier la démarche dans un cadre paritaire, ludique et convivial.
Animation : Laëtitia Courtin, conseillère technique Droit social - Ressources humaines et Nam Phuong Lacroix, conseillère technique Projet, Évaluation, Qualité (Uriopss Occitanie)